


Il y a des Formes avides
Et il y a un Autour ;
Il y a toutes les nuits, et il y a un Jour,
il y a et il n’y a pas a.
Le rai de la mort trousse
la terre du tumulte, l’air tourment, l’aveu ivre.
…Et puis vint,
au lieu des il y a :
cela.
Cela qui réunit
l’être là dévidé
qui fit du Temps l’ouvert,
du quelque part porté par du parTout,
de l’éphémère distinct,
le seul concret sans reste.
Il y a du Tout par Terre,
Cela d’où « là » advient.
Cela ou celle.